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Autour de « D comme Deleuze » et avec la même équipe, Cédric Orain a développé « D comme Débat », une petite forme qui peut jouer partout, par exemple dans le centre de formation d’un club de football avec la lettre « S comme Sport », ou dans des collèges et lycées avec la lettre « A comme Animal » sur la thématique du langage.
Ce n’est pas une simple rencontre avec le public, c’est surtout une rencontre avec le travail, l’expérience des gens qui a pour but d’influencer concrètement l’écriture d’un morceau de spectacle.
Pour rester dans l’idée des rencontres possibles et inattendues initiées avec le spectacle D comme Deleuze, la petite forme peut jouer partout comme dans le centre de formation d’un club de football avec la lettre « S comme Sport », ou dans les collèges et lycées avec la lettre « A comme Animal » sur la thématique du langage.
Une trace de chaque rencontre est conservée ; des photos, un enregistrement sonore, et des extraits des échanges pour donner lieu à la fabrication d’un petit livret, un abécédaire pour parcourir ces échanges et ce qu’ils ont fait naître.
Une salle pouvant accueillir 1 table et 3 chaises suffit, une scène n’est pas nécessaire. L’objectif est d’installer le public en « U » autour des interprètes. La forme complète dure une heure.
Aussi bien des enfants d’école primaire que des personnes âgées en maison de retraite, des sportifs au sein de leur club, …
Une fois le matin, une fois l’après-midi, et aussi en parallèle de la programmation de la grande forme D comme Deleuze
À l’hôpital (médecins, urgentistes, psy), au sein d’une association d’alcoolique, d’un club de tennis, dans un lycée agricole, avec des professeurs des écoles etc.
